Dans le Pigalle des boîtes de nuit, la Beauté professionnelle, c'est Daniela. Quand le client la voit, il a le souffle coupé. Le client vient de gagner gros au loto. C'est François. Il demande à Daniela "Combien tu prends ?" et lui propose immédiatement de devenir sa femme. Elle accepte... Mais on ne quitte pas comme ça Charly et le monde de la nuit...
Un film à la pretty woman, beaucoup moins romancé; des acteurs peu crédibles qui ne font que dire un texte appris, peu vivant. Bernard Campan dans "Se souvenir des belles choses" est beaucoup plus émouvant, quant aux autres, beaucoup d'autres films les mettent bien plus en valeur...
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Chacun a droit à l'échec. Mais réussir un vrai fiasco, rater un projet de longue haleine auquel on croyait dur comme fer, ruiner d'un coup des centaines de vies, couler une boîte en 24 heures demande des dispositions particulières. C'est l'exploit que vient d'accomplir le designer Drew Baylor en créant la chaussure de sport Mercury, une aberration dont le lancement imminent pourrait bien être le bide du siècle, avec une perte sèche annoncée de 1 milliards de dollars. A trois jours de l'apocalypse, Drew reçoit un appel affolé de sa soeur. Leur père, Mitch, vient de mourir, et leur mère a sombré dans un tel état de confusion et d'agitation qu'elle est incapable de se rendre dans le Kentucky pour les funérailles. Il revient à Drew de régler les détails de la cérémonie avec la famille et les nombreux amis de la victime... | Bien... Sympa, même si c'est un film très prévisible... Il faut aimer le genre... "Je réfléchis sur moi-même", peut-être essayer de se retrouver dans l'histoire, à certains moments en tout cas. Pas d'action, un film de télé, pas de cinéma. |
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